Depuis combien de temps exercez-vous votre profession et comment l’avez-vous choisie ?
Meredith : DéDé la malice est né il y a 5 ans, j'ai choisi de recycler du textile, car il est porteur de sens, d'histoire, on s'y attache et j'aime lui redonner une 2e vie.
Patricia : j'exerce depuis 2010. C'est le métier que je rêvais de faire à l'âge de 16 ans.
Comment la projetez-vous dans l’avenir ?
Meredith : dans l'idéal, grandir, sous-traiter la fabrication à des ateliers de réinsertion, localement, en m'appuyant sur le réseau des ressourcerie.
Patricia : avoir de plus en plus de commandes de particuliers et essayer de vendre à l'étranger.
Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui souhaiteraient exercer votre activé ?
Meredith : être certain de ses convictions. Savoir faire des compromis entre passion et réalités économiques. Oser innover.
Patricia : être passionné ! Patient et curieux de tout.
Combien de temps par jour consacrez-vous à votre travail ?
Meredith : en moyenne, 10 h par jour.
Patricia : de 8 à 9 h par jour (les jours calmes et creuses), 12 h le restent du temps en moyenne 10 h.
S’il y a lieu, quelles seraient les demandes que vous formuleriez auprès de nos politiciens pour vous faciliter le quotidien dans votre activité et lui donner un avenir plus sûr ?
Meredith : le marché du textile est sinistré en France, les marques phares de la mondialisation ont habitué le consommateur à trouver de tout à 3 fois rien et soldé 6 fois par an, avec une qualité de produit jetable. Comment a-t-on pu laisser faire ça ?
Que d'efforts à faire pour expliquer que, oui, on peut s’habiller autrement, privilégier la qualité plutôt que la quantité.
Patricia : moins de charges, plus de confiance et de facilité aux créateurs d'entreprise.
Meredith : DéDé la malice est né il y a 5 ans, j'ai choisi de recycler du textile, car il est porteur de sens, d'histoire, on s'y attache et j'aime lui redonner une 2e vie.
Patricia : j'exerce depuis 2010. C'est le métier que je rêvais de faire à l'âge de 16 ans.
Comment la projetez-vous dans l’avenir ?
Meredith : dans l'idéal, grandir, sous-traiter la fabrication à des ateliers de réinsertion, localement, en m'appuyant sur le réseau des ressourcerie.
Patricia : avoir de plus en plus de commandes de particuliers et essayer de vendre à l'étranger.
Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui souhaiteraient exercer votre activé ?
Meredith : être certain de ses convictions. Savoir faire des compromis entre passion et réalités économiques. Oser innover.
Patricia : être passionné ! Patient et curieux de tout.
Combien de temps par jour consacrez-vous à votre travail ?
Meredith : en moyenne, 10 h par jour.
Patricia : de 8 à 9 h par jour (les jours calmes et creuses), 12 h le restent du temps en moyenne 10 h.
S’il y a lieu, quelles seraient les demandes que vous formuleriez auprès de nos politiciens pour vous faciliter le quotidien dans votre activité et lui donner un avenir plus sûr ?
Meredith : le marché du textile est sinistré en France, les marques phares de la mondialisation ont habitué le consommateur à trouver de tout à 3 fois rien et soldé 6 fois par an, avec une qualité de produit jetable. Comment a-t-on pu laisser faire ça ?
Que d'efforts à faire pour expliquer que, oui, on peut s’habiller autrement, privilégier la qualité plutôt que la quantité.
Patricia : moins de charges, plus de confiance et de facilité aux créateurs d'entreprise.
